Generali across Europe, across generations
My story goes back to 2002 when, at the age of 23, a young Romanian girl who had grown up in a Romania in transition between communism and capitalism, only daughter raised by two engineers parents, with a Romanian diploma in business management in her pocket, decided to try the great adventure: to go to France to perfect her studies, supported by her motivation and the meager income of her parents.
The beginning was difficult, a new system of social values, a new environment, a new working language... but here I am, at the end of my Master's year, with a double degree in computer science and social sciences, looking for an internship in IT.
The Generali Group was already somehow present in my life at that time, because my mother was working as a developer analyst in the IT department of Generali Romania in Bucharest. She, who had known other employers before, sometimes told me incredible stories about her work at Generali, which I listened to with an amused ear. I grew up in my family with the idea that Generali was a kind of icon of professionalism and performance and above all a company that takes into account each individual.
And Generali was to become even more present from the day my mother asked me on the phone for a CV to pass on to her boss Sorin D., who had a few contacts in Italy and who sometimes made trips to Milan, because "who knows? it might give you something for your internship search"... I still remember smiling very incredulous... I was in France and they told me about the bridges between Romania, Italy and France. How could it have worked? But after all I had nothing to lose, so why not!
Not only did I have nothing to lose, I had everything to gain! A few months passed, until the evening when I received a phone call from a certain Bernard L. on behalf of the IT department of Generali France proposing to me to do an internship in Paris at the premises of the 9th arrondissement, in addition to a subject that interested me very much !! What a surprise, I couldn't believe it!
The end of the story is more classical, I arrived in Paris, I started the internship and the rest went so well that 6 months later I signed a permanent contract with Generali.
During these years at Generali, I had great encounters and strong friendships, I worked on topics that were more interesting and enriching than the others, I experienced reorganisations, successes in my projects, I discovered passions, I sometimes had disappointments... but what I remember most from this professional environment is a wonderful family atmosphere, where the members help each other, support each other and encourage each other. I later understood the stories my mother used to tell about her work...
During my travels in Europe and elsewhere over the years, I have always felt a sense of pride and affection for the people who enter or leave Generali's premises that I meet by chance (branches, headquarters...) and I always have the same desire to talk to them: "Hello, I work for Generali France, in Paris, how are you?"
Because today, beyond my "family" history linked to Generali, my employer has a human face, it is my second home, it is my true Life Time Partner.
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Generali à travers l'Europe, à travers les générations
Puisque je n’ai jamais osé partager cette histoire et je ne sais pas bien comment m’y prendre, je vais commencer simplement : je m’appelle Cristina Sterpu, j’ai 43 ans, je suis mariée, j’ai deux enfants et je travaille au sein du Groupe Generali depuis 18 ans, depuis le début de mon activité professionnelle. Au fil de ces années, j’ai apporté ma contribution à des projets très variés et j’ai fait plusieurs mobilités internes, j’ai été développeuse, analyste fonctionnel, chef de projet et maintenant marketeuse… mais mon souvenir le plus cher de toute cette période n’est ni en lien avec les postes que j’ai occupés, ni avec les missions qu’on m’a confiées, mais avec mon arrivée à Generali…
Mon histoire remonte à 2002 quand, âgée de 23 ans, jeune roumaine qui avait grandi dans une Roumanie en transition entre le communisme et le capitalisme, fille unique élevée par deux parents ingénieurs, avec un diplôme roumain de management des entreprises en poche, décide de tenter la grande aventure : partir en France pour peaufiner ses études, soutenue par sa motivation et les maigres revenus de ses parents.
Le début fut difficile, nouveau système des valeurs sociétales, nouvel environnement, nouvelle langue de travail …mais me voilà, déjà à la fin de mon année de Master double compétence en informatique et en science sociales, à la recherche d’un stage en informatique.
A cette époque le Groupe Generali était déjà en quelque sorte présent dans ma vie car ma mère, était à l’époque analyste développeur au service informatique de Generali Roumanie à Bucarest. Elle, qui avait connu auparavant d’autres employeurs, me racontait parfois des histoires incroyables de son travail à Generali, que j’écoutais d’une oreille, amusée. J’ai grandi donc dans ma famille avec l’idée que Generali était une sorte d’icône de professionnalisme et performance et surtout une entreprise qui tient compte de chaque individu.
Et Generali allait devenir encore plus présent à partir du jour où ma mère m’a demandé au téléphone un CV pour transmettre à son chef Sorin D., qui avait quelques contacts en Italie et qui faisait parfois des déplacements à Milan, car « qui sait ? ça peut pourrait donner quelque chose pour ta recherche de stage »... je me rappelle encore avoir souri très incrédule… j’étais en France et on me parlait des passerelles entre la Roumanie, l’Italie et la France. Comment cela aurait pu marcher ? Mais après tout je n’avais rien à perdre, pourquoi pas donc !
Non seulement je n’avais rien à perdre mais j’ai tout gagné ! Quelques mois se sont écoulés, jusqu’au soir où j’ai reçu un coup de fil d’un certain Bernard L. appelant de la part du service Informatique de Generali France me proposant de faire un stage à Paris dans les locaux du 9eme arrondissement, en plus sur un sujet qui m’intéressait fortement !! Quelle surprise, je n’arrivais pas à y croire !!
La fin de l’histoire est plus classique, je suis arrivée à Paris, j’ai démarré le stage et la suite s’est tellement bien passée que 6 mois plus tard je signais un CDI chez Generali.
Pendant ces années à Generali, j’ai fait des rencontres fabuleuses et j’ai noué des amitiés fortes, j’ai travaillé sur des sujets les uns plus intéressants et enrichissants que les autres, j’ai connu des réorganisations, du succès dans mes projets, je me suis découverte des passions, j’ai parfois eu aussi des déceptions... mais de ce milieu professionnel, je retiens principalement une formidable ambiance de famille, dont les membres s’entraident, s’épaulent, s’encouragent mutuellement. J’ai compris plus tard les histoires que ma mère racontait de son travail…
En voyageant au fil des années en Europe ou ailleurs, j’éprouve toujours cette sensation de fierté et d’attachement vis-à-vis des personnes qui rentrent ou ressortent des locaux de Generali rencontrés par hasard (agences, sièges...) et j’ai cette même envie à chaque fois de leur adresser la parole : « Bonjour je travaille à Generali France, à Paris, comment allez-vous ? »
Car aujourd’hui, au-delà de mon histoire « de famille » liée à Generali, mon employeur a un visage humain, il est ma deuxième maison, il est mon véritable Life Time Partner.